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6 arguments pour choisir des solutions cloud plutôt que des environnements sur site

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Pourquoi choisir des solutions cloud plutôt qu’un environnement sur site ? Découvrez les arguments utilisés par d’autres entreprise du secteur IT pour commercialiser des services cloud aux TPE et PME, et montrez pourquoi le cloud se révèle être le meilleur choix en termes de prix, de sécurité, de convivialité, de flexibilité et de maintenance par rapport à un environnement sur site.

Nous connaissons bien les TPE et les PME et nous savons qu’elles sont souvent réticentes à l’idée de changer leurs habitudes. Nous savons également que le cloud est un concept relativement nouveau pour bon nombre d’entreprises du secteur IT. Cet article rassemble donc une série d’arguments destinés à les aider à présenter les avantages des services cloud.

Voici ces arguments :

  1. Un environnement cloud est plus économique qu’un environnement sur site.
  2. Sur le plan financier, opter pour un environnement cloud se révèle moins risqué.
  3. Un environnement cloud est plus sûr qu’un environnement sur site.
  4. Les services cloud à distance se caractérisent par une meilleure intégration et une meilleure convivialité.
  5. En termes de contrats et de ressources, les environnements cloud sont flexibles, contrairement aux environnements sur site.
  6. En termes de maintenance, un environnement cloud est beaucoup moins chronophage.

Examinons tous ces points plus en détail.

Comparatif d’un environnement cloud et d’un environnement sur site

Un comparatif est le meilleur moyen d’affirmer qu’un choix est meilleur qu’un autre. Nous avons donc analysé deux alternatives (environnement cloud vs environnement sur site) à travers une étude de cas pratique, dont les bases sont détaillées ci-dessous :

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Étude de cas pratique : base d’analyse et de comparaison

Une PME décide de renouveler son serveur, actuellement installé dans ses locaux. À l’heure du choix, elle se trouve confrontée au dilemme suivant : acheter un autre serveur physique ou télécharger le service sur le cloud.

Sur le plan technique, le service (sous Windows 2019) doit desservir 8 utilisateurs. Les 8 utilisateurs ont besoin du serveur pour accéder à leurs applications habituelles (ancien logiciel de comptabilité, suite bureautique, etc.) et enregistrer leurs fichiers. Ils doivent également pouvoir se connecter à distance, sachant qu’il est tout à fait possible qu’à certains moments, ils se connectent tous en même temps. Le serveur à déployer doit remplir un certain nombre de critères en matière de sécurité (pare-feu, sauvegardes, antivirus, etc.), de configuration (système d’exploitation, Terminal Server, impression à distance) et de maintenance à moyen et long terme.

La PME doit effectuer une analyse détaillée pour prendre sa décision et déterminer l’environnement le mieux adapté : physique ou cloud.

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Une fois les besoins établis, elle envisage deux alternatives :

  • Option 1. Environnement sur site. Serveur physique installé dans ses locaux.
  • Option 2. Environnement cloud. Services cloud (bureau à distance + stockage cloud).

La PME examine la proposition de dimensionnement pour chacun d’eux.

Option 1. Serveur sur site (serveur physique)

D’une part, la PME évalue l’achat d’un serveur physique à installer dans ses locaux. Compte tenu des exigences initiales, le serveur physique aura les caractéristiques suivantes :

[REMARQUE : En général, un serveur de ce type (sur site) est dimensionné en pensant à l’avenir, en tenant compte de son utilisation possible pour les 5 prochaines années et en prenant comme point de départ les besoins actuels. Il y a une tendance à surdimensionner].

Option 2. Environnement cloud avec Remote Desktop (RD) et Stockage en ligne (SL)

D’autre part, la PME envisage de souscrire à deux services cloud permettant à ses employés d’accéder à leurs applications et à leurs fichiers de n’importe où :

L’environnement cloud proposé serait dimensionné comme suit :


Option 2. Caractéristiques de dimensionnement de l’environnement cloud (RD + SC)

[REMARQUE : Le dimensionnement des deux services est ajusté et optimisé à 100 % aux besoins actuels. L’environnement cloud peut être réajusté en temps réel en fonction de l’évolution des besoins].

Une fois les environnements cloud et sur site définis, il ne reste plus qu’à les comparer.

Comparatif économique (prix)

Comparer les deux environnements (cloud vs sur site) en termes économiques n’est pas chose simple. Chacun d’entre eux fait l’objet d’une souscription et de modalités de paiement différentes. Pour cette raison, une projection du PVC sur 5 ans est établie en comparant l’achat et la maintenance du serveur physique sur site (amorti sur 5 ans) au coût mensuel récurrent de l’environnement cloud.

  • Environnement sur site : coût initial d’acquisition (CAPEX) + récurrence mensuelle (OPEX)
  • Environnement cloud : récurrence mensuelle (OPEX) associée à l’utilisation des services RD et SC

L’analyse sur 5 ans donne le résultat suivant :

[REMARQUE : Dans cette analyse, la marge bénéficiaire établie pour le matériel est de 15 à 20 % (marge standard pour le secteur). La marge bénéficiaire des services cloud est de 30 %].

Argument 1 : 

À première vue, sans tenir compte de la sécurité, de la maintenance ou de la convivialité de chacun des environnements, l’option du cloud est plus économique pour le client final, concrètement, 11 % moins chère. Cette différence n’est pas significative, mais suffisante pour positionner le cloud comme une alternative plus économique et pour donner envie au client de continuer à écouter votre argumentaire.

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Argument 2 :

Penchons-nous sur les modalités de paiement, à savoir achat vs paiement à l’usage. Le service cloud est non seulement moins cher, mais il permet également de fractionner les dépenses, sans gros investissements initiaux. Que faire du matériel acheté s’il perd en fonctionnalité avant d’être amortis ou notre PME décide qu’elle n’en a plus besoin ?

Sur site, près de 60 % des dépenses totales (projection sur 5 ans) interviennent au moment de l’achat. Financièrement, ce risque est-il justifié ?

Comparatif en termes de sécurité

Outre l’aspect économique, la sécurité est sans doute le principal obstacle auquel les entreprises du secteur IT sont confrontées lorsqu’elles commercialisent des services cloud. Lorsque l’on compare ces deux environnements (cloud vs sur site) en termes de sécurité, l’argument est clair.

Argument 3 :

Il ne fait aucun doute que l’environnement cloud est beaucoup plus sûr. En voici les raisons :

  • Sécurité physique (installations). L’environnement cloud est réparti dans plusieurs centres de données hautement sécurisés situés en France. Contrôles d’accès, sécurité 24/24, contrôles ambiants de température et d’humidité et protections anti-incendies. Le serveur sur site dispose-t-il des mêmes mesures de sécurité ? Quelqu’un peut-il y accéder ? Existe-t-il un risque d’incendie ou d’inondation ?
  • Grappe de serveurs physiques et redondance géographique. Lorsque vous achetez un serveur et que vous l’installez dans vos locaux, la fiabilité du matériel est cruciale. Si le serveur tombe en panne, c’est tout le service qui cesse de fonctionner. Dans les environnements cloud tels que celui envisagé (RD+SC), les machines virtuelles font partie d’une grappe de serveurs à redondance géographique dans différents CTD. Si le serveur cloud venait à tomber en panne, un autre prendrait le relais pour garantir la continuité du service.
  • Temps de restauration du service. Que se passe-t-il si le matériel tombe en panne ? Dans le cas d’un serveur sur site, notre PME doit se procurer la ou les pièces de rechange pour réparer le serveur, avec des délais de restauration d’un à trois jours en général. Les environnements cloud peuvent également tomber en panne, mais étant donné leur nature et leur architecture, les délais de restauration sont réduits à 20 ou 30 minutes.
  • Perte de données. Dans les environnements sur site, les sauvegardes sont généralement effectuées sur une base quotidienne. Ainsi, en cas de panne, le service est restauré avec la sauvegarde de la veille, avec une éventuelle perte de données équivalant à 24 heures. Dans les environnements cloud tels que celui de Jotelulu, la perte de données est réduite à 1 heure maximum (sauvegardes toutes les heures, avec une rétention des 5 dernières heures).
  • Sécurité périmétrique. La France est le deuxième pays d’Europe le plus touché par les attaques, qui visent principalement les TPE et les PME. Malgré cela, la plupart d’entre elles ne disposent pas de mesures spécifiques en matière de cybersécurité. Très peu d’entreprises (en particulier les TPE) sont en mesure de mettre en place des serveurs physiques avec trois couches de sécurité (VLAN + Pare-feu + IDS/IPS). Cependant, toutes ces couches de sécurité font partie, par défaut, des services cloud tels que Remote Desktop (RD) et Stockage en ligne (SL).

Est-il donc préférable de conserver les données sur site ?

Comparatif en termes de convivialité

Le télétravail est-il simple à mettre en œuvre ? Est-il possible de se connecter depuis un Mac ou une tablette Android ? Comment imprimer ou sauvegarder des fichiers ? Ce sont là quelques-unes des questions que se posent les PME lorsqu’elles commencent à travailler dans des environnements distants.

Argument 4 :

Les environnements cloud impliquent de facto à la fois délocalisation et mobilité. Aucune configuration n’est nécessaire, cela fait simplement partie du service. Tout l’inverse des environnements sur site, qui doivent être préparés à la mobilité, celle-ci n’étant pas toujours garantie à 100 %.

Voici quelques points que vous pouvez souligner lors de la comparaison entre l’environnement cloud proposé (RD+SC) et le serveur physique sur site :

  • Accès au serveur. L’accès au serveur physique par les utilisateurs est identique (accès par connexion RDP). Toutefois, la solution cloud permet également aux utilisateurs d’accéder au serveur par l’intermédiaire d’une connexion HTML5. Cet accès ouvre des possibilités infinies, car il devient possible de se connecter depuis n’importe quel système d’exploitation et donc de n’importe quel appareil (iOS, Linux, Android, etc.).
  • Intégration des imprimantes locales. L’impression est l’un des problèmes les plus courants lorsque l’on souhaite se connecter à distance à un serveur physique. En général, l’intégration des imprimantes locales (EasyPrint) est un véritable casse-tête dans les environnements sur site accessibles à distance. Les environnements cloud tels que Remote Desktop (RD) utilisent le pilote Universal Printer, une passerelle qui affiche automatiquement les imprimantes locales et réalise une intégration complète avec l’environnement cloud.

 

Comparatif en termes de flexibilité

Que faire du serveur physique si notre PME doit subitement réduire ses effectifs de moitié ? Et si l’inverse se produit ? Nous ne contrôlons pas toujours tous les facteurs externes (COVID, facteurs climatiques, etc.), la flexibilité est donc cruciale.

Argument 5 :  

En termes de contrats et de ressources, les environnements cloud sont flexibles, contrairement aux environnements sur site. L’achat d’un serveur implique une planification et un amortissement à long terme. Une fois l’achat effectué, les ressources sont celles dont vous disposez, quelles que soient les circonstances. Un environnement cloud est différent. Le paiement à l’usage permet d’augmenter ou de diminuer les ressources en temps réel, ce qui permet à notre PME de s’adapter et de se projeter à long terme.

Comparatif en termes de maintenance et de temps passé

Combien d’heures sont-elles nécessaires pour installer et assurer la maintenance d’un serveur physique ? Quelqu’un a-t-il déjà fait ce calcul ? Sur qui reposent-elles réellement ces tâches ?

Argument 6 :

L’installation, la gestion et la maintenance des services cloud se comptent en heures par an, alors que les services sur site en jours, voire parfois en semaines par an.

L’environnement sur site envisagé dans ce comparatif nécessite beaucoup de travail pour répondre aux exigences de base fixées par notre PME :

  • Installation et maintenance du serveur et de son système d’exploitation
  • Installation et maintenance du système Terminal Server
  • Configuration du pare-feu
  • Configuration du VPN
  • Gestion et intégration des imprimantes locales
  • Configuration et gestion des sauvegardes
  • Traitement de tous les incidents de niveau 1 et de niveau 2

Pratiquement rien de tout cela n’est requis par les services cloud envisagés dans ce comparatif (RD+SC), qui se caractérisent par un processus de déploiement automatisé, des configurations par défaut et service d’assistance de niveau 2. En termes de gestion et de maintenance, il ne fait aucune doute que les services cloud envisagés sont beaucoup moins chronophages, avec les effets positifs qui en découlent sur notre PME.

Argumentaire en faveur de la commercialisation de services cloud

Il est très difficile d’argumenter en faveur du changement auprès des TPE et PME. C’est d’autant plus vrai si elles ont l’impression de perdre le contrôle. Savoir exprimer clairement et en détail les avantages d’une nouvelle solution peut marquer la différence dans un processus de vente, quel que soit le type de service, mais surtout dans le domaine de la commercialisation de services informatiques.

C’est pourquoi nous avons créé cet article, car nous pensons qu’il pourrait s’avérer utile lors de la commercialisation de services cloud.

Après la lecture de cet article, il est possible que la curiosité vous pique et que vous souhaitiez en savoir un peu plus sur les stratégies et les astuces que d’autres entreprises du secteur IT utilisent pour aborder le marché et vendre leurs services. Dans ce cas, consultez les articles suivants :

Nous vous souhaitons bonne chance et espérons que ce contenu vous aidera dans votre argumentaire. Lancez-vous !

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